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    La pensée de l'objet, c'est la même chose que l'aigle de la Terre,

    Ou la terre qui a créé son propre survol, vivant.

     


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  • Après un quart de siècle sans réponse, j'en ai trouvé une satisfaisante pour moi :

    Le sens de la vie se trouve dans la mutualité.

    Arrangez-vous avec ça.



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  • L'aéroport des rêves, l'archéologie de l'aéroport dérêve...
    Les mots tombent des fous,
    Ils bafouillent une alarme,
    Une résonance de vécu des arbitres de la destinée, de la destination.
    En orgasme,
    Mon corps s'ouvre
    Comme le sol s'ouvre
    Sous nos pas, en fleur du matin, matin en lumière, humidifiées de nuit...

    Puis l'ADN se gonfla d'étoiles homosexuelles,
    La loi dans un revolver d'océan,
    Pour que Dieu se shoote la gueule,
    perclus de solitude, de cris bicéphales, tentaculaires,
    foudroyés à l'oxygène dans la prison d'un hymen décoloré, sphyngien.

    Dieu était amoureux d'un enfant arbitraire,
    en souffrance de faim dans un tas d'ordures et de poussières,
    bouffé à la colle et à la HAINE !
    Tabassé au viol et à la géopolitique...

    L'amour n'a jamais connu de lois,
    La fixité des mots en veines suantes ne fait que servir la politique.
    C'est un cadavre d'encre qui vous l'inocule dans les yeux,
    avec ferveur et sans douleur,
    Seuls des mots, seuls comme Dieu,
    Souples comme une conviction politique,
    Un désert dans une ambulance en fusée de sang partant vers des programmes propulseurs en jambes de volcans,
    Brutalisé au confins de la cruauté humaine,
    des chiens éventrés fouettés avec leurs tripes !
    Pour la mort d'une idée, d'une vague idée de la constance,
    Le discours en rigole tout seul, dans un coin qui tremble, vert, interlope.

    La médiocrité, le crime, le désespoir sont des yeux plantés sur la gueule à pustules de l'Unique,
    C'est rien mon coeur, il bat des anges dans le sortilège de la rémission.
    C'est rien mon amour, c'est rien, il pleut des tortures qui n'existent plus,
    C'est rien, pardon, pardon...

    Un ADN en étoiles féconde les infinités, un ADN d'étoiles, beau comme une cathédrale toute en cierges,
    un chant implorant de ses mille bras de feu à la gloire de la seconde pleine des milliards de nos instants,
    la seule seconde folle comme un précipice pour l'Eternité, pour Nous, TOUTES nos vies, les vaincus les vainqueurs,
    les monstrueux incultes de la nécessité des lignes de vie de l'amour à tisser entre les actes bourdonnants, infatigables, dans une seconde, une seconde, pleine comme l'oeil doré, mordoré, métallique, superbe, d'un crapaud cosmique, mauve obscur, constellé... dans les marécages de la création sans but, sans outils, sans argent, avec outils, dégueulant hurlante de pognon,

    OÙ EST LA TRANSCENDANCE BORDEL !








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  • Quand le consensus
    Est à l'expression forcenée de l'individualité
    Pour ne pas se noyer dans la masse

    Paradoxe vital, Gigamort
    Faux enjeux : chacun est déjà unique, nous sommes déjà une masse.
    Oui oui mais faut refaire, ça crée de l'économie.

    Comment pourquoi être, un et Un...

    Les tentacules de l'esprit dans ses potentialités concrétissées...
    Le concret c'est la guerre, l'argent et LES pouvoirs.

    Même la Poésie est dépassée, la mienne en tout cas, il faut bien l'avouer.
    Je vais finir par produire des rapports économiques.
    Je tomberai dans l'infini des incertitudes.

    L'écologie ? ben voyons qu'est ce qu'on en a à péter de notre bio-contexte, il crève mais pas nous. Ben non pas nous hein.

    Poésie dépassée...
    Qu'est-ce que la nominalisation pourrait contre ça ?
    A-t-on le temps de nominaliser ? les digues sont rompues, le barrage a cédé, le monde s'est déversé sur lui-même. Tsunami.

    Où était-il cet océan ?
    Dans l'aveuglement, dans le fait de gagner sa vie.

    Rétroaction des outils ( giga-outils ) de l'homme sur lui-même, comment dirait Coppens.
    Boucle civilisationnelle, vague scélérate.

    Mur.

    Je maîtrise rien depuis 20 ans. Rien. Aucune emprise sur ma réalité.
    Elle fout le camp, je suis je suis pas, elle s'en branle, et là elle veut m'caner.
    Salope.

    C'est dans Amen, de Costa Gavras, le prêtre catho se rebelle contre son pape, finit avec les juifs dans les chambres à gaz, parce qu'il ne comprend pas,
    Ce génocide accepté, industrialisé, par une nano-élite.

    Comme un poète jamais reconnu qui meurt avec son peuple.

    Allez, c'était bien...
    Salut.

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  • Dans l'hyperciel de notre superamas Coma collectif

     

    Flottent 6724 galaxies,

     

    Probablement 10 000 000 000 000 000 d'étoiles.

     

     


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